Ports anciens, abris naturels
publié le 11 octobre 2007 (modifié le 2 janvier 2008)

Port de Rouen au Moyen Âge
(Dessin de Jacques Le LIEUR en 1525, Coll. Bibliothèque Municipale de Rouen)
Des ports étaient aménagés sur des cours d’eau à une distance de la mer suffisante pour ne pas y être trop exposés à ses mouvements.

Port de Rouen au XVIIIe siècle
(tableau Pierre Denis MARTIN vers 1720 Coll. Musées municipaux de Rouen)
Les ports anciens : des abris naturels.
Pour être mises à l’abri des mouvements de la mer, les petites embarcations étaient échouées sur des plages ou hissées à terre. Les plus importantes stationnaient dans des anses ou des petites baies où l’agitation due à la houle était naturellement atténuée.
Des ports étaient aménagés sur des cours d’eau à une distance de la mer suffisante pour ne pas y être trop exposés à ses mouvements. Parfois à plus de cent kilomètres à l’intérieur des terres, comme dans le cas des ports de Rouen, Nantes ou Bordeaux.